La ministre d’État en charge de l’Éducation nationale et de la Nouvelle Citoyenneté, Raïssa Malu, a représenté avec brio le Gouvernement congolais à la 43ᵉ session de la Conférence générale de l’UNESCO.
Devant ses homologues du monde entier, la cheffe de l’éducation congolaise a réaffirmé la volonté de la république de transformer son système éducatif en un levier de développement durable et d’inclusion.
Lors de la table ronde ministérielle tenue sous le thème inspirant « Transformer demain aujourd’hui », Raïssa Malu a présenté les réformes phares déjà engagées par son ministère. Parmi elles : la numérisation de l’éducation et l’enseignement à distance, une formation continue et modernisée des enseignants, ainsi qu’une refondation curriculaire intégrant la citoyenneté active, la durabilité et l’inclusion.
Autant d’initiatives qui visent à doter la jeunesse congolaise des compétences nécessaires pour s’adapter aux réalités du XXIᵉ siècle.
Ces réformes traduisent la vision d’une éducation équitable et innovante, ancrée dans la modernité mais profondément humaine. La ministre a insisté sur la nécessité d’unir technologie et valeurs citoyennes afin de former des citoyens capables de contribuer à la construction d’un Congo fort, responsable et prospère. « L’éducation n’est pas seulement un droit, c’est le moteur de toute transformation sociale », a-t-elle souligné avec conviction.
En soutenant la vision de l’UNESCO pour un nouveau contrat social pour l’éducation, la RDC réaffirme son engagement à bâtir un système éducatif transformateur, au service de l’humain et du développement durable.
Par son leadership et sa clarté de vision, Raïssa Malu positionne la RDC comme un acteur engagé dans la redéfinition de l’école africaine du futur.
Ludovick Iwele







